Etienne et Hugo, forment le duo des Shifterbros,  ensemble ils ont décidé de se lancer un défi incroyable, une aventure cycliste de Brest à Singapour.
Ils sont partis le 2 mars 2025 pour un voyage de 10 mois, qui couvre 22 000 km à travers 25 pays et 2 continents.

Une aventure cycliste avec plusieurs objectifs

  • Découvrir le monde,
  • Accomplir un défi sportif,
  • Soutenir l’association « Baskets Aux Pieds » qui aide les enfants hospitalisés,

Découvrez leur projet en téléchargeant le document ci-dessous

Suivre le périple d’Hugo et d’Etienne

Suivez quotidiennement le périple des Shifter Bros, grâce à l’application Polarsteps  en cliquant sur le lien ci-dessous :

Circuit en direct

Dimanche 2 Mars, départ d’Hugo et d’Etienne depuis Milizac-Guipronvel

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Diaporama du départ du 2 Mars 2025

Un aurevoir des écoliers de Notre Dame la veille du départ

Interview d’Etienne et Hugo par France 3 Bretagne

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Hugo et Etienne 900 km plus loin !

Des nouvelles de Hugo et Etienne, nos deux aventuriers partis le 2 mars dernier en direction de Singapour. Aujourd’hui, ils se trouvent à Toulouse. Le voyage se déroule plutôt bien, avec déjà de belles rencontres en cours de route. La journée d’avant-hier, lors de leur trajet de Bordeaux à Agen, a été un peu plus difficile, avec trois crevaisons successives et une pluie battante. À part cela, ils ont principalement dormi chez l’habitant, et n’ont eu besoin de planter leur tente qu’une seule fois. Un vrai luxe pour eux pour le moment !

L’entente entre Hugo et Etienne est excellente, et ils se motivent mutuellement tout au long du parcours. En prime, ils sont passés à la télévision sur France 3 Iroise et à la radio sur ici breizh izel. « On devient des stars ! » plaisantent-ils. La route est encore longue, mais l’aventure continue avec enthousiasme !

Hugo et Etienne sont arrivés à Toulouse

Place du Capitole, Toulouse
Place de la Bourse, Bordeaux

2 Mars – 2 Avril 1 mois déjà !

  • Ca roule pour Hugo et Etienne !
  • 3 200 km parcourus
  • 7 pays traversés
  • Egalité au nombre de crevaisons 3/3

Hugo et Étienne sont actuellement au Montenegro, on ne peut pas dire qu’ils aient été gâtés par la météo, puisque pluies et vents sont souvent au rendez-vous… Et quand le GPS s’en mêle, on se retrouve à traverser un champ de boue…

Mais rien n’altère le moral de nos deux globe-trotters, l’ambiance, elle, est au beau fixe !

Ils ne négligent pas les spécialités régionales, et s’autorisent parfois quelques visites à pied histoire de découvrir que les jambes ne servent pas qu’à pédaler…

Retrouvez leurs posts quotidiens ci-dessous

 

Italie, Slovénie, Croatie, Montenegro

Trieste Italie
Derovere-Italie
Arrivée en Slovénie
Jadranovo Slovenie
Intempéries en Croatie
Croatie
Split Croatie
Split - Croatie
Dubrovnik A Pied
Montenegro

Hugo et Etienne T0 + 3 mois

Nos deux compères sont bloqués depuis une quinzaine de jours à Tbilissi en Géorgie en attente de leur visa pour traverser la Russie, l’occasion de se reposer et de découvrir un peu plus la région et la culture, et agrandir le cercle des bikers rencontrés au fil du voyage.

Ils ont participé au festival « Tbilissi Open Air », l’un des plus importants de la région du Caucase.

Samedi 31 Mai, ils ont vécus un grand moment avec la finale PSG- Inter, dans un bar diffusant le match. À chaque ballon touché par le joueur géorgien Kvaratskhelia, attaquant gauche du PSG, la foule se mettait à crier, à espérer un coup de génie de sa part. Alors quand il a mis la balle au fond des filets, l’explosion de joie fut énorme ! La soirée a été longue, l’ambiance de la ville totalement acquise à la victoire parisienne.

Nous vous invitons à lire la carte postale du 26 Mai où il nous résument leurs précédentes étapes en Turquie ci-dessous.

Carte postale du 26 Mai

Voilà presque 3 mois que nous avons quitté Milizac, 3 mois de découvertes, d’aventures et de rencontres. Notre parcours nous a d’abord mené jusqu’à l’autre bout de l’Europe. Nous avons atteint la Turquie le 23 avril. L’arrivée dans ce pays a marqué un vrai tournant dans le voyage. Première fois pour nous deux que nous allions dans ce pays et cette région du monde. Nous avons tout de suite été séduits par la culture chaleureuse de ses habitants. Les Turcs nous ont accueillis à coup de grands saluts et de grands sourires. Les habitudes y sont totalement différentes de celles de l’Europe occidentale. On s’y est facilement adaptés pour se fondre dans la masse et prendre le rythme local. La pluie nous a enfin laissés un peu plus tranquilles. Le soleil turc a rayonné pendant de nombreux jours en apportant sa chaleur et sa bonne humeur. Après avoir découvert les merveilles d’Istanbul, les collines du nord-ouest et les lacs de sel, nous sommes arrivés à Ankara pour préparer la suite du voyage. Une mission qui n’a pas vraiment porté ses fruits car toutes les ambassades visitées sont restées muettes à nos demandes.

Après la capitale, nous avons pris la direction de la Cappadoce. Le spectacle y était au rendez-vous : des dizaines de montgolfières multicolores dans un ciel bleu sans nuage, et une lumière parfaite pour les admirer. On vous conseille vivement d’y aller. C’était ensuite l’heure de remonter au nord pour rejoindre la Géorgie, pays suivant de notre parcours. On s’est vraiment sentis dépaysés en traversant la Turquie du nord-est et les montagnes de la chaîne Pontique, une région méconnue de la Turquie qui mérite d’être mise en valeur. La chance nous a souri en nous permettant d’être plusieurs fois accueillis chez les Turcs, d’y partager le « çay », le thé turc traditionnel, nos histoires à vélo, leurs histoires de vie. Nous avons eu un vrai coup de coeur pour la Turquie et ses habitants. Nous sommes à présent à Tbilissi, la capitale géorgienne, depuis le 19 mai. Nous sommes contraints de faire une longue pause dans notre voyage car nous sommes en attente de nos visas pour la Russie. Nous avons pu suivre toutes les procédures nécessaires pour les obtenir. Malgré tout, cette pause nous fait du bien. Nous pouvons avancer sur les tâches que nous laissions de côté depuis le départ. On en profite pour faire une bonne révision des vélos. Nous devrions traverser la Russie du 7 au 9 juin. La seule option viable qui s’offre à nous est de prendre un train pour respecter le temps imparti du visa transit. Ça sera ensuite le Kazakhstan avant d’entamer la Pamir Highway. Distance parcourue jusqu’à présent : 8200 km

Coeur du désert Kazakh

Pour parvenir jusqu’ici, il nous a fallu traverser l’Asie centrale et ses mystérieux Stans. Quelle révélation ! Cette région du monde nous était presque inconnue. Tout a commencé au coeur du désert kazakh. L’horizon y est plat à l’infini, seulement ponctué par quelques villages et la silhouette tranquille des chameaux. Dans cet univers aride, une seule question guidait nos journées : combien de kilomètres restaient-ils à parcourir avant de trouver la prochaine source d’eau ? Cinquante, quatre-vingts, parfois plus de cent. Entre deux robinets, le désert semblait avaler le temps. Nous avons dormi chez des éleveurs de chameaux, dans des lieux de pèlerinage, ou sous notre tente, perdus au milieu du Manguistaou. Et puis, soudain, la splendeur des montagnes de Bozhira nous a laissés sans voix.

Ouzbékistant et Route de la soie

Puis vint l’Ouzbékistan, brûlant et lumineux, avec ses cités majeures de la Route de la Soie. Après la rudesse du désert, c’était comme atteindre une oasis. Les joyaux de Khiva, Boukhara et Samarcande se sont offerts à nous, éclatants de bleu et d’histoire. Leurs mosaïques, d’une finesse infinie, témoignaient de la grandeur d’autrefois. Mais plus que la beauté des monuments, c’est le peuple ouzbek qui nous a marqués. Nous avions été accueillis comme des rois en Turquie, ici c’est en seigneurs que nous arrivions. Les pastèques, les melons, les abricots, les bouteilles d’eau offerts en nombre : nous avons vite fini par cesser de compter. La générosité de ce pays restera gravée en nous, indélébile.

Traversée du Tadjikistan par la Pamir Highway

Le Tadjikistan, lui, nous a mis à l’épreuve. Nous savions que la traversée serait rude. Très vite, la maladie locale (comprenez la bonne vieille tourista…) nous a rattrapés : nausées, douleurs, arrêts forcés. Mais la Pamir Highway valait chaque effort. Dix jours à rouler sur les toits du monde, sur des plateaux à plus de 4000 mètres d’altitude, jusqu’au point culminant du voyage : 4691 mètres. Là-haut, les paysages semblaient d’un autre monde. Montagnes démesurées, silence minéral, solitude absolue. Nous avions réellement le sentiment d’être arrivés au bout du monde. Difficile, oui. Mais inoubliable.

Le kirghizistan et ses paysages dépaysants

En quittant ces hauteurs, un désir simple nous animait : retrouver des supermarchés, une nourriture variée. La Chine se profilait. Mais avant elle, le Kirghizistan nous offrit sans doute les plus beaux 120 kilomètres de notre voyage. Des plaines vertes, des troupeaux de chevaux et de yaks, des yourtes disséminées dans l’immensité, avec les montagnes du Pamir en toile de fond. Ce paysage restera gravé comme une promesse : nous y reviendrons. Deux mois d’Asie centrale, deux mois d’un dépaysement absolu.

6 mois d’aventure, 14 000 kilomètres parcourus ! Magnifique témoignage

Voilà six mois que nous sommes sur les routes. Six mois qui se sont écoulés avec une rapidité déconcertante. Les jours passent, jamais semblables, toujours porteurs de surprises et de découvertes. Chaque rencontre est une leçon, une invitation au partage, une transmission précieuse.
Nous ouvrons désormais un nouveau chapitre de ce périple : l’Asie du Sud-Est nous tend ses bras.

La Chine, immense, déroutante, familière et étrangère à la fois

Puis vint la Chine, immense, déroutante, familière et étrangère à la fois. Nous avons pris le train de Kashgar à Xi’an, retrouvant d’emblée la richesse culinaire qui nous avait tant manqué. Après des semaines de privations, les fruits et légumes prenaient des allures de festin. De Xi’an à Pékin, nous avons roulé 1500 kilomètres, admirant l’armée de terre cuite, traversant des villages comme Pingyao, figés dans le temps. Nous avons eu la chance de bivouaquer sur la Grande Muraille de Chine. Un souvenir inoubliable. Pressés par le compte à rebours de nos visas, nous avons repris un train jusqu’à Nanning, au sud. Ce pays nous a fascinés. Nous n’en avons aperçu qu’une infime part, mais déjà une certitude s’impose : nous y retournerons.

Arrivée au vietnam

Et voici que nous foulons le sol du Vietnam, premier paragraphe du dernier grand chapitre de notre aventure. Tant de découvertes sont encore devant nous.
Depuis Milizac, nous avons parcouru plus de 14 000 kilomètres à vélo. Il nous en reste un peu plus de 5000 avant d’atteindre Singapour. La motivation est intacte, les jambes solides, les vélos vaillants, malgré quelques cicatrices du voyage. Ici, la saison des pluies bat son plein. Nous allons devoir jouer avec les averses, comme on joue avec les rafales en Bretagne. Et c’est peut-être ce qui nous rapproche encore un peu de la maison.

19 jours pour traverser le Vietnam

Nous démarrons par le Vietnam. Un voyage de 19 jours et 1 850 km pour découvrir le pays du nord au sud, de ses montagnes à ses plages de sable fin. Dès le départ, c’est un saut dans le grand bain. La baie d’Halong nous offre des paysages époustouflants. Entre montagnes karstiques et baies isolées, un endroit à part.

Après ça, la capitale, Hanoï. C’est une ville inépuisable à laquelle nous penserons en souriant. De belles rencontres ont rythmé notre passage là-bas. Nous en repartons en trio : Hugo, Marseillais à vélo en route pour la même destination finale, nous accompagne. Nous avons su profiter des plages en longeant l’océan Pacifique sur des centaines de kilomètres. Nous aurons du mal à oublier la température de l’eau, dépassant 30 °C certains jours. Mais le Vietnam ne se résume pas à sa côte.

À l’ouest, la cordillère Annamitique forme la frontière avec les pays voisins. Ses montagnes, rondes et couvertes d’une jungle tropicale extrêmement dense, nous ont mis à rude épreuve, exigeant qu’on gravisse leurs pentes sous des chaleurs étouffantes et une humidité relative maximale — mais dans des paysages grandioses.

Un pays mis en valeur par ses habitants, d’une bienveillance folle, d’une générosité inépuisable et d’un sourire intense, couvert par les Non La traditionnels, qui ne donnent qu’une seule envie : revenir.

Un imprévu aux frontières, un détour par le Cambodge

Un passage de frontière avorté nous contraint à adapter notre itinéraire pour prendre un chemin alternatif à celui planifié à l’origine. Après le Vietnam, le Cambodge nous accueille. Le pays khmer diffère du précédent : le niveau de vie y est moindre.

C’est un retour à plus de simplicité. Nous retiendrons les visages joyeux des habitants, les routes aux bas-côtés ocres qui fendent les forêts tropicales et surtout la splendeur du joyau local, lui-même représenté sur le drapeau national.

La raison principale de notre passage au Cambodge réside à Siem Reap. Cette fois-ci, on s’accorde une petite pause non cycliste. Nous ferons le trajet aller-retour en bus pour cette escapade historique.

Les temples d’Angkor sont majestueux. Nous découvrons des monuments incroyables, comme sortis de terre au milieu de la jungle, et qui résistent au temps qui passe. Cette visite justifie totalement notre détour par le Cambodge. Une huitième merveille du monde qui ne laisse pas indifférent.

Traversée du Laos par le Mékong

Retour à la gare routière. Nous reprenons notre itinéraire à vélo là où nous l’avions laissé — pas de coupure sur le tracé. Nous remontons vers le Laos. Ce petit pays est le moins connu de la région. Nous en savons encore moins à son sujet qu’à propos de ses voisins.

Nouveau pays et nouvelle claque de découvertes. Nous voilà sur le Mékong, naviguant sur une petite embarcation longiligne qui roule à chaque vague. Nous nous agrippons aux vélos et espérons qu’ils ne basculeront pas par-dessus bord.

Au cœur du majestueux Mékong, l’archipel fluvial des 4 000 îles lutte contre le courant. Nous atteignons son île principale, Don Det. C’est comme un havre de paix. Les gens y vivent presque isolés, profitant librement de la tranquillité de l’endroit. Nous aurons gardé le Mékong à vue pendant les trois jours de voyage au Laos. Un séjour plus court qu’espéré, mais intense en émerveillement.

La route continue, en Thaïlande

La route continue. Nous entrons en Thaïlande. Le rythme à vélo s’intensifie. Nous avons une date butoir précise pour arriver à Singapour. Pour profiter au maximum des endroits qui nous plaisent, nous enchaînons les longues journées de pédalage. Les kilomètres s’accumulent, au milieu des rizières, des buffles et des champs de canne à sucre.

Nous nous permettons une bifurcation par le parc national de Khao Yai, à la découverte des éléphants sauvages. Nous en ressortons avec une crème solaire en moins — dérobée par les macaques — et, malheureusement, sans image d’éléphant en tête.

Nous atteignons Bangkok, une ville elle aussi immense, entourée d’une couronne de gratte-ciels plus modernes les uns que les autres, riche d’histoire et capable d’offrir tout ce que l’on souhaite y trouver. Nous reprenons notre marathon cyclable. La dernière ligne droite est en vue : à présent, ce sera plein sud jusqu’à Singapour. Les journées de 150 km avec baignade se succèdent. Nous avançons vite. Une nouvelle parenthèse sans vélo nous attend. Cette fois-ci, nous posons pied sur Koh Phangan, l’une de ces îles paradisiaques qui viennent en tête quand on pense à la Thaïlande. Seul objectif de ces trois jours sur l’île : ne rien faire et profiter.

Alors voilà, nous bronzons sur de longues plages blanches, sous les palmiers et cocotiers, et savourons les spécialités culinaires locales. C’est très certainement ce que nous retiendrons avant tout de ce pays : une richesse culinaire incroyable, qui ne nous aura jamais déçus. Là aussi, nous nous sentons proches de la population. Nous aurons majoritairement bivouaqué en Thaïlande. Que ce soit sur un ponton de pêcheur, dans un temple bouddhiste, sous le préau d’un gardien d’école ou dans un parc municipal, les locaux nous ont toujours ouvert les bras et accepté notre venue.

La Malaisie, 21ème pays du voyage.

Enfin, la Malaisie est le 21ᵉ et dernier pays du voyage avant l’arrivée finale. De Penang à Malacca, en passant par Kuala Lumpur, les derniers jours auront, eux aussi, été fantastiques. Nous sentions la fin du périple arriver. L’échéance approchait, nous poussant à profiter au maximum de chaque instant.

Samedi 18 octobre, arrivée à Singapour

Samedi 18 octobre, 231 jours après avoir quitté Milizac, nous y sommes. Le poste frontière singapourien se dresse face à nous. Nous le franchissons sans vraiment y croire et roulons jusqu’au bout de l’île. La route s’arrête ici, impossible de descendre plus au sud. Nous ne réalisons pas que c’est la fin, que Singapour est atteint. Dans nos esprits, ce n’est qu’une étape supplémentaire du voyage avant de reprendre la route vers les prochaines aventures. Sauf que ce jour-là, non. Nous avons parcouru 19 607 kilomètres sur nos vélos, à travers 22 pays, fait des milliers de découvertes, de rencontres et garderons gravées en mémoire des montagnes de souvenirs.

Quelle aventure incroyable ! Nous serons passés par différentes phases — beaucoup de très hauts, quelques bas. Il y aura sûrement un avant et un après cette expérience d’une richesse infinie. Le départ tonitruant d’Europe, l’incroyable accueil reçu en Turquie ou en Ouzbékistan, les paysages monotones du Kazakhstan, l’isolement quasi total au Tadjikistan avant de découvrir l’abondance folle chinoise, les merveilles culinaires et les plages paradisiaques d’Asie du Sud-Est… Nous n’oublierons rien.

Le 22 octobre, nos chemins se séparent. Étienne monte dans son avion pour rentrer en France. Hugo continue l’aventure. Singapour–Brest par la terre démarre.

Au programme : bus et train pour remonter jusqu’à Pékin, avant de découvrir la Mongolie à vélo. Place ensuite au Transsibérien pour rejoindre l’Europe et rentrer tranquillement en pédalant jusqu’en France. Deux mois de voyage : le rendez-vous est pris le 21 décembre à Milizac !